Un photoreportage Sciences et Avenir sur les traces de mpox soutenu par AFROSCREEN
Un photoreportage Sciences et Avenir sur les traces de mpox soutenu par AFROSCREEN

©Jean-François Lagrot
En République démocratique du Congo (RDC), où le mpox est endémique, une mission franco-congolaise mène des recherches pour identifier l’animal réservoir du virus tout en observant l’évolution de la maladie dans les zones les moins accessibles du pays. AFROSCREEN a soutenu un photoreportage sur ce travail de terrain crucial pour anticiper les émergences.
C’est au cœur de zones de santé rurales et forestières de la Province de l’Equateur, que Jean-François Lagrot, photoreporter indépendant, a accompagné une mission conjointe constituée de chercheurs de l’Institut national de la recherche biomédicale (INRB) de Kinshasa et de l’institut de recherche pour le développement (l’IRD), et d’agents de la Division Provinciale de la Santé sur les traces de mpox.

Entre observations des signes cliniques et interrogatoires pour retracer l’historique des contaminations, les scientifiques de la mission ont rapidement penché vers l’hypothèse de la zoonose. Le réservoir animal de la maladie ? Sans doute un rongeur…
A l’est du pays, la situation est différente, la maladie circule majoritairement via la transmission interhumaine. Ces différences s’expliquent en partie par les différentes souches des clades du mpox découvert grâce à l’apport du séquençage génomique. Le clade 1 que l’on retrouve en Afrique centrale et donc en RDC possède deux souches, la 1a avec une forte variabilité génétique, circulant depuis des siècles chez les animaux, et la 1b avec une faible variabilité génétique, apparue récemment chez l’humain. De nombreuses études sur mpox sont soutenues par AFROSCREEN
La recherche opérationnelle en santé publique que mènent les équipes des laboratoires virologie et de génomique de l’INRB, dirigés par les Professeurs Steve Ahuka Mundeke et Placide Mbala, en collaboration avec l’IRD TRANSVIHMI, permet de produire des connaissances scientifiques indispensables dans la lutte contre ces virus.
Vous pouvez découvrir le photoreportage et l’article complet de Jean-François Lagrot via ce lien.
©Jean-François Lagrot
En République démocratique du Congo (RDC), où le mpox est endémique, une mission franco-congolaise mène des recherches pour identifier l’animal réservoir du virus tout en observant l’évolution de la maladie dans les zones les moins accessibles du pays. AFROSCREEN a soutenu un photoreportage sur ce travail de terrain crucial pour anticiper les émergences.
C’est au cœur de zones de santé rurales et forestières de la Province de l’Equateur, que Jean-François Lagrot, photoreporter indépendant, a accompagné une mission conjointe constituée de chercheurs de l’Institut national de la recherche biomédicale (INRB) de Kinshasa et de l’institut de recherche pour le développement (l’IRD), et d’agents de la Division Provinciale de la Santé sur les traces de mpox.

Entre observations des signes cliniques et interrogatoires pour retracer l’historique des contaminations, les scientifiques de la mission ont rapidement penché vers l’hypothèse de la zoonose. Le réservoir animal de la maladie ? Sans doute un rongeur…
A l’est du pays, la situation est différente, la maladie circule majoritairement via la transmission interhumaine. Ces différences s’expliquent en partie par les différentes souches des clades du mpox découvert grâce à l’apport du séquençage génomique. Le clade 1 que l’on retrouve en Afrique centrale et donc en RDC possède deux souches, la 1a avec une forte variabilité génétique, circulant depuis des siècles chez les animaux, et la 1b avec une faible variabilité génétique, apparue récemment chez l’humain. De nombreuses études sur mpox sont soutenues par AFROSCREEN
La recherche opérationnelle en santé publique que mènent les équipes des laboratoires virologie et de génomique de l’INRB, dirigés par les Professeurs Steve Ahuka Mundeke et Placide Mbala, en collaboration avec l’IRD TRANSVIHMI, permet de produire des connaissances scientifiques indispensables dans la lutte contre ces virus.
Vous pouvez découvrir le photoreportage et l’article complet de Jean-François Lagrot via ce lien.